Découvrez Qu’est-ce que la mort pour les Tibétains ? un peuple pour qui mourir n’est que libération du cycle de son existence ; un moyen de mettre fin à la souffrance et d’atteindre l’illumination perpétuelle ; avec lequel leur sagesse s’épanouit également et ils développent une autre forme d’existence qui se répète jusqu’à ce qu’ils atteignent le Nirvana; quelque chose de vraiment curieux.
Qu’est-ce que la mort pour les Tibétains ?
Comprendre ce qu’est la mort pour les Tibétains ? il faut se plonger dans les rites, les traditions et les coutumes religieuses du Tibet ; par lequel lorsqu’une personne meurt ou est sur le point de mourir, elle participe à la lecture de son Livre des Morts ou Bar-do’i-thos-grol.
Une lecture à l’intérieur de laquelle se trouvent les clés qui, dans son état de vie intermédiaire, lui permettront de guider son destin jusqu’à ce qu’il atteigne le Nirvana ; moment où une sagesse spirituelle suffisante est atteinte pour voir la réalité, la vérité sur leur destin sur la face de la terre.
Le Nirvana n’est pas quelque chose qui peut être expliqué par des mots et sa compréhension est vraiment difficile ; mais ce qui est clair, c’est que ce rite de passage funéraire bouddhique est ce qui prépare ceux qui sont en train de mourir ou qui sont déjà morts, à jouir d’une nouvelle vie.
Pour ce faire, vous devez suivre un processus de 49 jours, au cours duquel de la nourriture et des boissons sont offertes à l’esprit du défunt, en offrande.
Dans le cadre des rituels bouddhistes suivis pour leurs défunts, il est d’usage d’incinérer les cadavres, de les enterrer ou de les déposer dans l’eau ; mais il est aussi possible de se contenter d’abandonner le corps pour que les oiseaux charognards s’en nourrissent et que cette action naturelle serve à sa décomposition.
En ce sens, on observe que le défunt peut être l’objet de l’action de n’importe lequel des quatre éléments de la nature.
Lors des funérailles bouddhistes, on commence à prier le Bouddha, le défunt est recouvert d’un linceul et ne le touche pas ; au bout de trois jours, il est placé dans un cercueil pour veiller sur lui.
Avant de disposer de votre corps par crémation ou toute autre méthode choisie ; Conformément à ce qui a été dit précédemment, il est courant que la maison de leurs proches soit laissée ouverte pour recevoir leurs proches ; Eh bien, pour les bouddhistes, la mort a aussi une composante sociale.
Avec ce geste, le chagrin et la peur sont exhumés ; par l’amitié; avec une partie de la cérémonie dans laquelle des chants sont encerclés.
Il est possible, à son tour, de tenir une cérémonie funéraire annuelle en l’honneur de ce défunt durant les sept années suivantes ; qui s’accomplit sur 49 ans.
Répondre que c’est la mort pour les Tibétains ; nous pouvons indiquer qu’ils considèrent qu’il s’agit simplement d’une manière par laquelle leur âme se prépare à l’au-delà ; évitant leur retour au Samsara et avec lequel ils atteindront l’illumination.
Dans ce cas, Samsara est le cycle composé de la naissance, de la vie, de la mort et de l’incarnation ; un espace de temps sans fin, dans lequel il éprouve de l’insatisfaction et de la souffrance ; tandis qu’avec leur illumination, ils se dirigent vers l’opposé, qui est identifié comme le nirvana.
Moment où ils jouissaient d’un cycle de renaissance, un état suprême de bonheur ; là où ils sont incorporés à l’essence divine, ils n’éprouveront pas de désirs, mais ils n’éprouveront pas non plus de douleur.
En d’autres termes, le nirvana est un terme qui vient du sanskrit et qui désigne un état qui n’est atteint que par la méditation, en plus de l’illumination spirituelle.
Tous les êtres humains qui croient aux principes du bouddhisme peuvent atteindre leur nirvana, lorsqu’ils concluent leur quête spirituelle et se libèrent de tous les liens entretenus dans leur vie terrestre.
A ce moment, la personne qui atteint son nirvana passe dans un état dans lequel toute activité mentale inutile ou excessive cesse, entrant ainsi dans un niveau de libération profonde, d’harmonie calme et agréable.